Culture

Au nom de la DIGNITÉ, la pièce de théâtre qui dit tout

Le trouble du comportement est à la base de multiples détournements de deniers publics que l’on enregistre, ici et là, au Bassin du Kongo, depuis le 1er juillet 1960 (1) ! C’est en cherchant à comprendre le pourquoi/le comment du chemin emprunté par la pandémie à dollarvirus – parce que s’en est une évidemment, cfr la Fable de Jean de la Fontaine 1621/1695 intitulée  » Les animaux, malades de la peste.  » (2) – et qui frappe durement/durablement les faibles en esprit que je me suis mis à recevoir, indépendamment de ma bonne volonté, la pièce de théâtre intitulée  » au nom de la DIGNITÉ.  » (3) Avec espoir que les Grands Malades que sont la plupart de nos Compatriotes qui… Pourraient, au nom de la DIGNITE, se dégager de  » l’assassinat du PÈRE  » auquel ils participent publiquement, et ce dans l’inconséquence/l’insouciance/l’irresponsabilité les plus totales, au travers de plusieurs spectacles de mauvais goût.. ( Et pourtant, nous avons été avertis  » Tu honoreras PÈRE et MÈRE.  » ) Alors ? Et alors… L’unique voie à leur portée :  » – Confesser publiquement le vol crapuleux, – Demander pardon au Peuple kongolais tout en restituant tout l’argent concerné plus les intérêts composés…  » Un rêve ? Simple imagination ? Un souhait pieu ? Une attente généralisée ? C’est selon ! Ce qui est sûr et certain… C’est au THEATRE, et nulle part ailleurs, que l’on trouve les MOTS, artistiquement agencés, qui portent une FORCE… Et dont l’ACTION agit sur tout spectateur, attentif, au-delà de la représentation scénique… L’ultime but du THEATRE étant celui de rendre la VERTU aimable aux êtres humains… Merci Seigneur pour cette autre grâce ! (1) : L’injection de l’équivalent de 7 millions d’euros début juillet 1960 par la Belgique officielle pour casser l’élan des Nationalistes par l’achat des consciences des politiciens… (2) :  » Un mal qui répand la terreur… Ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés…  » (3) : « Au nom de la DIGNITE. « , pièce de théâtre aux éditions du CEPROLA, 3 ème trimestre 2022. (4) :  » C’est le PÈRE que l’on assassine.  » Pièce de théâtre, aux éditions du CEPROLA, quatrième trimestre 2022.

Katsh Katende

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