Soucieux des mauvaises conditions de vie de cette partie de la République où les violations ne cessent d’accroître à l’égard des femmes et jeunes filles, où les massacres des personnes prennent de plus en plus de l’ampleur et dérange la quiétude de ces habitants.
L’objectif principal de cette mission est de lancer les consultations nationales dans le cadre de la justice transitionnelle.
Pour ce warrior,
» Il est temps de fumer le calumet de la paix comme le veut le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi faisant ainsi allusion aux différents conflits qui ont causé des morts durant plusieurs années au pays, la justice transitionnelle est indiquée pour connaître la vérité sur ce qui s’est réellement passé autour des affres et autres atrocités dont ont été victimes de nombreux congolais.
Kamwina Nsapu, Bundu Dia Kongo, Hema et Lendu, les morts de Yumbi, les Enyele à l’Equateur, le sang des innocents a beaucoup coulé, il est temps de libérer la parole des victimes pour une réparation afin de préparer la voie du développement durable, penser à la réconciliation », précise Albert Fabrice Puela, ministre des Droits humains.
Cette mission de 48 heures va donner le ton au cours d’une cérémonie de lancement de la caravane de la paix qui sera retransmise en direct sur la télévision nationale le lundi 14 mars prochain.
Signalons cependant que le ministre de tutelle est à la tête d’une mission composée des députés nationaux dont le président de la commission des droits de l’homme à l’Assemblée nationale, les représentants de la présidence de la République, la société civile et le bureau conjoint des Nations-Unies aux droits de l’homme.
Voldi Kengi
