Le monde entier a célébré ce jeudi 09 décembre la journée internationale de la lutte contre la corruption.
Une journée de réflexion qui pousse notamment les décideurs du monde à s’investir davantage pour mètre fin à ce fléau qui continue à participer à l’appauvrissement des populations surtout dans le continent africain.
Ainsi, l’Agence de Prévention et de Lutte contre la Corruption (APLC), a lancé une campagne de
sensibilisation en vue de renforcer l’intégrité et de fédérer l’opinion autour des questions d’anticorruption.
Le thème retenu cette année est “Votre droit, votre défi : dites non à la corruption”.
Poursuivant ses efforts, l’APLC , cette structure de la présidence de la République multiplie des stratégies pour mener à bon port cette vision du président de la République, Félix Tshisekedi qui a placé la lutte contre la corruption parmi les priorités de son mandat à la tête de la République démocratique du Congo.
C’est justement dans cette optique que le chef de l’État a mis en place l’APLC pour barrer la route à la corruption qui est devenue un fait normal en RDC.
L’objectif de cette initiative de l’APLC a pour but de prendre connaissance de cette journée, de prévenir la corruption,
d’interpeller ses cibles et de susciter des changements profonds dans le chef de celle-ci et instaurer
une nouvelle culture, celle de l’intégrité.
Pour maximiser la
portée de cette action, l’Agence compte également sur les retombées des effets du “bouche à oreilles”.
Pour certains observateurs, lutter contre la corruption doit être le véritable cheval de bataille du pouvoir en place et dont les signaux sont déjà palpables, puisque le pays a été depuis des décennies l’un des » bad boys » de la planète en matière de la corruption.
Pathou Kinzala Nkuka
