Jamais élections n’a mobilisé autant d’institutions que celles en cours d’avènement en République Démocratique du Congo (RDC), de New York à Pretoria (Afrique du Sud), de Addis Abeba (Ethiopie) à Luanda (Angola), de Kigali (Rwanda) à Libreville(Gabon), toutes les organisations internationales et sous régionales ont inscrit dans leur agenda, la recherche de la stabilité de la RDC par l’organisation des élections libres, transparentes et apaisées.
Un programme haut en couleurs qui prend plusieurs axes car, il intègre tant des variables qu’à ce jour le pays est suspendu à ces élections. Tous et personnes ne jurent que sur celles-ci, soit pour les voir se réaliser, soit pour les voir s’éloigner, c’est selon. Dans des conditions inédites, les formations et regroupements politiques se préparent sans savoir exactement comment cela va se passer.
C’est au cœur de cette dynamique sociale, qu’il y a des hommes et des femmes qui se présentent comme ayant l’ambition d’accéder aux commandes de la Nation et ils formulent le plus sérieusement du monde cette légitime ambition avec l’espoir de convaincre un maximum des citoyens à adhérer à leur vision censée porter en elle les éléments de progrès de la société.
A quelques mois avant même le début de la campagne électorale et surtout avant même que ces hommes aient pu déposer leurs candidatures concrètement et de recevoir la validation de celles-ci par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), Géopolis Hebdo a capté la clameur publique autour de ces noms, ils sont cités à différentes reprises comme ayant cette ambition puissante.
Pour faire le point sur ce grand défi qui attend la Nation, nous présentons ces leaders politiques pour permettre à nos lecteurs de suivre progressivement le déroulement de cet enjeu national et de croitre dans la capacité de maitriser l’actualité. Ils sont de l’Opposition et de la Majorité présidentielle (MP), avec la différence que si au niveau de l’Opposition, certains se sont clairement déclarés au niveau de la MP, l’expression des ambitions personnelles n’est pas encore libérée du fait de la mise en place d’une nouvelle famille politique électorale qui devra soutenir un seul candidat (Ndlr : Front Commun pour le Congo, FCC).
Les noms cités sont des oui dires et des propos qui circulent sur les réseaux sociaux, dans les indiscrétions des certains membres des états-majors qui veulent voir leurs champions emporter la lutte à la candidature. Qui sont-ils ? Voilà cette première livraison qui en appelle d’autres car, aucune personne ne peut continuer à s’appartenir s’il veut conduire les rênes du pays en occupant la plus haute fonction, la magistrature suprême.
Adam Mwena Meji
