» Les commencements… Les matins… « .
On répète souvent, et en boucle : » En toute chose, il faut considérer la fin… Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement… « . Nous, nous affirmons le contraire en ce qui concerne le processus de création/
d’appropriation artistique… Nous nous proposons de ramer contre le courant… Vers le début… L’impulsion… La naissance timide du puzzle… La petite lueur qui disperse graduellement l’obscurité…
Le quatrième numéro de la nouvelle collection, sous presses aux éditions du CEPROLA, est constitué d’un récit subdivisé en quatre chapitres, s’attardant, chacun sur l’un des aspects de la participation active du dramaturge à la création spontanée, donc vivante, de son propre personnage !
En d’autres mots, le dramaturge interprétant son propre rôle, mais en dehors de la salle, tout en privilégiant les acquis innés du théâtre sur les différents lieux de travail… Dans l’industrie minière du Bassin du Kongo ! Une de meilleures façons de répondre à la récurrente question : une liaison existe-t-elle entre le fait de fabriquer et/ou d’utiliser les explosifs dans les mines, dans les carrières, au génie civil et le théâtre ? Le Théâtre, l’art le plus éminent, l’art de la parole, l’art dramatique… Le lieu de confrontation et de résistance… Le lieu de communication et de civilisation…
Bref ! L’arme par excellence contre les antivaleurs… Le point de départ incontournable de la réappropriation de la Culture de notre Identité… Sans laquelle aucune action durable du développement ne réussira !
Katsh
