C’est au début des années 1970 – il y a plus de 45 ans – que la criminelle décision de supprimer tous les mouvements de jeunes – autres que la JMPR de triste mémoire – a été rendue publique. Privant, ipso facto, et ce jusqu’à aujourd’hui, de dizaines de millions de jeunes kongolais un passage harmonieux de la puberté – 14, 15, 16 ans… Que de séquelles ! (Tenez ! KULUNA à Kinshasa ; MAYIBOBO à Bukavu ; WAYAMBAR à Lubumbashi ; BANA BA MU CISALU à Mbujimayi-Kananga, etc. Auxquels il faudrait associer tous ceux – en cravate – qui souffrent de toutes sortes de troubles de comportements parmi lesquels trône la propension aux détournements de millions de dollars de deniers publics…
La rareté des performances, constatées chez les sportifs kongolais, s’expliquerait en grande partie ; le manque d’infrastructures appropriées complèterait le sombre tableau… ). Allons-nous continuer à assister, impuissants, à cette absence/à ce manque criant d’encadrement des activités extrascolaires de cette importante tranche de la Population par un Adulte, appelé à cet effet ? Cette tranche va rejoindre plus tard la vie active sans aucune préparation à la mesure de l’énorme préjudice subi ?
Voilà des années que nous proposons à la communauté nationale notre participation active à la solution kongolaise pour sortir victorieux de cette crise, à conséquences multiformes, fabriquée de toutes pièces par ceux qui ont combattu les VALEURS durables.
Nous vous invitons à lire les ouvrages ci-après publiés aux éditions du CEPROLA : 1. » Tes mains pour servir. » ; 2. » Jeune, affronte ce combat. » ; 3. » Père, où es-tu ? » 4. » C’est Lubuya qu’on assassine. » ; 5. Dada. ; 6. » Kikina, la brave. » ; 7. » Ntumba Wa Mende. » ; 8. » S.O.S. Enfants ! Arrêtez le massacre ! »
Katsh
